Au delà des rimbaldiens, la presse s'est largement penchée sur la photographie découverte par deux libraires parisiens, sur laquelle ils ont cru reconnaître Rimbaud, sur le perron de l'hôtel de l'Univers.
Levée de boucliers dans la rimbaldie : articles et propos assassins (en voici venu le temps), publications scientifiques, vidéos, guerre digitale. Depuis ce coup de tonnerre, les rebondissements sont nombreux. On en oublierait presque que l'essentiel chez Rimbaud n'est pas la tronche à machin sous le soleil d'Aden, ni même les bouts de papier anecdotiques qu'il envoyait depuis l'Afrique, mais son oeuvre, la plus puissante, la vraie : ses mots.
Cela étant précisé, Libé revient sur la guerre d'image(s) qui fait rage dans le microcosme des experts : http://www.liberation.fr/culture/01012292260-rimbaud-le-retour
A lire.
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